Les questions autour du financement des JO de Sion 2026 fônt rage. Nous ne voulons pas parler ici du fait qu’une personne demande aux collectivités publiques une couverture de déficit à hauteur de 1 milliard, tandis que son activité professionnelle l’amène à, semble-t-il à en lire les Paradise Papers, expliquer à ses clients comment payer le moins d’impôt possible à ces mêmes collectivités publiques.

Aujourd’hui notre question est à propos de cet article paru mercredi 29 novembre dernier dans le Tages Anzeiger et qui, sur une pleine page (page 3) expose qu’un document confidentiel du DDPS imputë le potentiel déficii de fonctionnement aux cantons, alors que jusqu’à présent, il a été dit sur tôus les tons qu’il ne saurait être question que les cantons doivent éponger le moindre centime d’un éventuel déficit de fonctionnement, qu’au premier chef, ce serait au comité d’organisation, puis éventuellement la ville de Sion, qui a signé un contrat avec le CIO en tant que potentielle ville hôte.

Or l’article du Tagi contredit cette position en indiquant clairement que :

Diese Ablehnung kônnte nun deutlich wachsen, insbesondere in den Kantonen Wallïs, Waadt, Bern, Freiburg und Graubünden, in welchen die Sportanlässe durchgeführt werden sollen. Der Grund: Auf diese Kantone könnte im Falte eines Defizits bei Sion 2026 eine happige Rechnung zukommen. Dies geht aus einem vertraulichen Dokument des Departements für Verteidigung, Bevölkerungsschutz und Sport (VBS) hervor, das dieser Zeitung vorliegt. Darin heisst es: Wenn das Defizit im Betriebsbudget die limitierte Defizitgarantie des Bundes übersteige, « sind die Kosten von der Organisation oder den Durchführungskantonen zu tragen ».

D’où notre question : le Conseil d’état a-t-il connaissance de ce document et quelle est l’appréciation de la situation fait-il ?