« Pour une famille de deux enfants et deux parents, si un des deux parents trouvait un travail payé 50’000 francs, il se retrouvait avec 13% de revenu en moins qu’avec l’aide sociale en raison des nouveaux frais.
Cela signifie qu’on ne gagnait pas plus d’argent en faisant l’effort de revenir au travail. Ces effets ont été éliminés: dorénavant, quelqu’un dans cette situation ne perdrait pas d’argent – ce qui ne veut pas encore dire qu’il vit mieux.
C’est là qu’interviennent les PC familles: elles font simplement en sorte que le revenu disponible soit plus élevé que si on était à l’aide sociale. La famille de notre exemple aurait un revenu augmenté de 17%. Cela signifie une aide de 700 francs par mois en moyenne, pour environ 6000 familles et 15’000 à 20’000 enfants ».
Les arguments des opposants ont également été démontés, notamment celui qui affirme que le système subventionnerait des personnes ayant choisi de ne travailler qu’à 20%. Ce slogan est absurde: « Déjà, il est impossible de trouver des gens qui ont véritablement choisi de ne travailler qu’à 20%.